Quand papa a aussi le baby-blues…

Coucou (future) papa ! 

Saviez-vous que maman n’est pas la seule concernée par le baby-blues ? Eh oui, même vous papa pouvez être face à cette période pas si facile tandis que bébé est enfin à vos côtés.

Papa comme maman peut connaître le baby-blues ! Cliquez pour tweeter

Papa est plein d’émotions

D’après des statistiques américaines, en 2015, 13% des hommes étaient touchés par le baby-blues. Une période pas si facile à traverser avec un tas d’émotions venant cohabiter. Le bonheur d’être père et la crainte de mal faire. La joie d’avoir vu la future maman enceinte et de se retrouver réellement avec bébé dans les bras. Et en même temps, arrive ce sentiment qu’être père est une situation compliquée, que ce que disent les livres, les professionnels, les proches ne s’appliquent pas aussi aisément dans la pratique.

Papa doit parvenir à trouver sa place

Quand bébé naît, l’homme connaît un nouveau rôle : celui du père. Maman a porté bébé durant 9 mois, l’a mis au monde, l’allaite (peut-être) et face à tout cela comment papa doit-il se comporter ? Comment agir avec bébé et maman ? Il y a le papa se sentant comme un poisson dans l’eau : il change les couches, berce sa progéniture, se sent plutôt à l’aise… Puis il y a aussi le papa qui :

• est stressé,
• mange moins,
• est énervé,
• a peur de mal s’y prendre,
• se sent triste,
• ne dort pas,
• se sent crouler sous les nouvelles responsabilités,
• n’est pas à l’aise avec bébé.

Très souvent on associe ces préoccupations aux nouvelles mamans connaissant alors le baby-blues. Mais même papa peut être concerné 🙁

Comment soutenir papa ?

Discuter, mettre des mots sur les maux sont essentiels afin de comprendre ce que vit papa. Il a autour de lui sa compagne pour partager ce qu’il ressent. Il a à disposition son médecin traitant pour lui parler de ses sentiments. Rester renfermé, avec ses émotions précisément, est peu productif. Parole de maman ayant eu le baby-blues ! J’avais eu du mal à me confier, me disant qu’être dans cet état c’était comme regretter d’être mère… Et puis j’étais trop fière pour avouer mes faiblesses. A tort ! Alors si une femme parle d’égo, qu’en est-il d’un homme ?

Parler du baby-blues de papa c'est mettre des mots sur les maux Cliquez pour tweeter