Bébé a 1 an. Maman fait le bilan
Coucou (future) maman et (futur) papa !
1 an déjà. 12 mois ont filé si rapidement. Bébé Wayssou souffle sa première bougie. On attend impatiemment qu’il se mette à marcher avec assurance 😉 Et pour maman alors ? Quel est le bilan de cette première année ? Avec le post-partum, le COVID, le rythme avec Mimi… La vie quoi 😉
Le COVID 19 a rythmé cette année forcément ! Cliquez pour tweeterLoin de ma famille !
Le plus frustrant dans cette première année avec bébé Wayssou ? Etre loin de ma famille ! Avec Mimi nous avons pu faire un tas d’allers-retours chez mes parents, voir mon frères, mes soeurs… Et là, nous étions complètement bridés 🙁 Wayssou est né en août. Entre les confinements, déconfinements, couvre-feu… notre premier voyage a eu lieu durant les vacances d’Hiver. Cette pause a été bénéfique bien que courte. Mais j’ai pu revoir les miens après plusieurs mois voire même 1 an ! Si Wayssou avait été mon premier enfant je crois que je l’aurais très mal vécu. Psychologiquement me dire qu’il y avait Mimi et qu’il fallait en prendre soin m’a certainement aidée 😉 Et la présence de papa également ! Merci à eux deux <3
La peur du COVID
Que de choses totalement inédites vécues durant cette deuxième grossesse ! Au fil des 9 mois de grossesse, il aura fallu jongler entre les rendez-vous médicaux sans la présence du papa ou les séances en distanciel via Zoom (pour les cours de préparation à la naissance). Nouveauté : s’équiper de masques et respirer dedans lorsque tu parviens déjà à peine à porter le poids en fin de grossesse. Sans oublier un accouchement masqué et un test PCR en salle de naissance. Je prenais un milliard de précautions et je pensais déjà à l’après accouchement. Alors oui une fois Wayssou avec nous, la crainte de le voir être contaminé était très forte. Aujourd’hui c’est toujours le cas mais je vois Wayssou plus fort, un peu moins vulnérable… Peut-être que cela est psychologique !
Le rythme avec Mimi
Avec Mimi alors ? Parce qu’il faut conjuguer avec toutes les autres responsabilités dont celle de s’occuper de notre première enfant. Ne pas la mettre de côté surtout et lui montrer de l’importance comme nous faisions avant. Je crois que le fait d’avoir anticipé bon nombre de choses a beaucoup aidé. Les fournitures scolaires avaient été achetées au début de l’été (sachant que j’ai accouché le 15 août). Donc nous étions au point pour la rentrée scolaire. De plus les activités extra-scolaires étaient déjà choisies et les inscriptions faites. Papa étant présent à la maison, il a pu s’occuper d’emmener Mimi à l’école, de la ramener. Nous avons aussi conjugué avec l’étude du soir mais peu la cantine (les masques étant enlevés pour le temps de restauration, j’ai préféré éviter). Le télétravail de papa m’a aidée à pouvoir laisser Wayssou avec lui pour prendre du temps avec Mimi. Et bien sûr elle a été incluse dans les moments de soins avec bébé 😉
Et moi : rééducation, travail… !
Ne pas s’oublier c’est important ! Quelques semaines après l’accouchement, je me suis remise à travailler tranquillement. Je suis freelance, donc j’ai plus de facilités. Mais je n’en faisais pas assez à mes yeux. Parce qu’il était compliqué de rester concentrée autant que je le souhaitais. Petit à petit je me suis remise sur mes blogs. Je n’ai pas non plus oublié mon suivi médical avec la visite postpartum traditionnelle mais aussi davantage ayant eu une déchirure importante lors de mon accouchement. Merci d’ailleurs aux séances d’ostéopathie gynécologique ! Puis sont arrivés les 20 séances de rééducation périnéale et abdominale. Un long chemin fait de pauses café, goûter chez les copines… Alors une fois l’été venu, me rendre chez mes parents durant 1 mois m’a fait du bien pour me reposer et revenir les batteries bien rechargées 😉
Maintenant Wayssou attaque sa deuxième année. Son éveil ne fait que commencer. Pour moi, le moment est venu de penser à la crèche, peut-être à un retour à une activité professionnelle salariée en plus de l’autoentrepreneuriat. Quant à vous les (futures) mamans et (futurs) papas, pensez à faire des bilans. Cela fait beaucoup de bien et surtout cela permet de se rendre compte du chemin accompli.
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